- Hyunjoo SONG 송현주
Sur la question de la muséologie
최종 수정일: 2020년 4월 7일
Sur la question de la muséologie
Hyunjoo SONG 송현주
« La muséologie n’existe pas, mais elle a une histoire » - ce paradoxe a été soulevé par Martin Schärer, qui a proposé les problèmes de définitions de la muséologie. Selon lui, la muséologie peut être comprise comme l’étude de la collection du musée, du travail pratique dans le musée, d’une théorie du musée etc. En effet, les problèmes de définitions, aussi bien de la « muséologie » que du « musée », le paradigme est hétérogène. Schärer a donné les différents types de musées en expliquant le fonctionnement de ses différents types de musée. Ainsi qu’il mentionne l’histoire des musées, comment elle évolue depuis l’année de 1960.
Le terme de « muséologie » est transformé avec le temps. En 1962, lors d’une conférence internationale organisée par le comité suisse de l’ICOM, la définition du musée fait parts des aspects scientifiques. Par rapport à leur fonction celle-ci évolue en fonction de l’apparition de différent types de musées, l’élargissement quantitatif envisagé dans l’internationalisation. De plus, l’importance des activités de conservation, restauration, et d’action culturelle ont également été amélioré. En conséquence, pour la première fois, que le conservateur doit recevoir une formation universitaire correspondant à son domaine de travail, et marque le début du terme de muséologie.
Ayant un rôle prépondérant en matière de déontologie, l’ICOM a adopté son code de déontologie pour les musées en 1986. C’est un outil de référence qui fixe des normes d’excellence devant être respectées par tous les membres de l’organisation. Ces règles pour les musées impliquent des principes fondamentaux pour l’administration des musées et pour l’acquisition et la cession de collections, ainsi que des règles de conduite à l’usage.
En effet, il y a une autre interprétation qui explique le développement de musée. D’après un article de Jean-Roch Bouiller et Marie-Charlotte Calafat, la définition de musée est une partie des résultats de la transformation de l’atelier d’artiste. L’atelier reste le lieu multifonctionnel de la pratique artistique jusqu’au milieu du XIXe siècle. À la suite de l’exacerbation de l’exposition, le rôle de l’atelier change comme le lieu d’origine de l’œuvre. Cependant, sa fonction de diffusion se passe dans la galerie ou le musée.
‘La mission de service public au musée’ a réservé à la définition du musée jusqu’à dans les années 1990. « À propos du projet de loi de 1993 sur les musées, il estime que les musées inscrits sur la liste des musées de France constitueront des services publics. »[1]

Cela signifie que le rôle des musées avant était d’enseigner et informer le public. Dans ce cas-là, Annette GEIGER, un professeur de l’université de Stuttgart a revendiqué qu’il ne faut pas confondre la recherche scientifique et les pensées muséale. Le phénomène, par exemple, de l’immersion dans les musées de science est une question polémique. De plus en plus de musées des sciences tentent de proposer des expositions spectaculaires fondés sur le principe d’émotion fortes et d’expériences mémorables.[2]
GEIGER explique « Le musée cherche à intéresser son spectateur uniquement à des choses vrais : elles peuvent étonner, surprendre, être belles, admirables ou rendre nostalgique …, on ne pose certainement pas la question de savoir si elles sont fausses ! »
Elle a présenté trois types de classements pour les musées. Selon GEIGER, les œuvres ne sont plus classées d’après le quoi de la représentation mais d’après leur comment. En appliquant au musée, il existe trois aspects : 1. Le musée d’illustration. 2. Le musée de mémoire. 3. Le musée comme système autonome. Il est évident que réfléchisse un phénomène homogène de « musée » veut remplir le terme de « muséologie ». La définition du musée est multiple et diverse comme un lieu de l’éducation et un lieu de conservation et restauration de patrimoine. Cette définition pourrait évoluer avec l’utilisation aujourd’hui des nouvelles technologies.
Bibliographie
Rodriguez, V. (2002). “L’atelier et l’exposition, deux espaces en tension entre l’origine et la diffusion de l’oeuvre.” Sociologie et sociétés, 34(2)
Belaën Florence. “L'immersion dans les musées de science : médiation ou séduction ?”, In: Culture & Musées, n°5, 2005. Du musee au parc d'attractions : ambivalence des formes de l'exposition (sous la direction de Serge Chaumier) pp. 91-110
Bénédicte Rolland-Villemot, « Unités écologiques, « period rooms » : des ensembles d’objets mobiliers, de la collecte à la valorisation muséographique », In Situ [En ligne], 29 | 2016, mis en ligne le 13 juillet 2016, consulté le 19 mai 2017.
Jean-Roch Bouiller et Marie-Charlotte Calafat, « Dioramas ethnographiques et unités écologiques : La mise en scène ne la vie quotidienne au musée d’Ethnographie du Trocadéro et au musée national des Arts et Traditions populaires », L’art du diorama, 2018.
Marie Cornu, Nathalie Maliet-Poujol, Droit, Œuvres d’art et musées, CNRS DROITS, 2006.
[1] Marie Cornu, Nathalie Maliet-Poujol, Droit, Œuvres d’art et musées, CNRS DROITS, 2006, pg. 26.
[2] Belaën Florence. L'immersion dans les musées de science : médiation ou séduction ? In : Culture & Musées, n°5, 2005. Du musée au parc d'attractions : ambivalence des formes de l'exposition (sous la direction de Serge Chaumier) pp. 91-110.